Prendre l'avion quatre fois dans sa vie pour réduire la pollution liée à sa mobilité. La proposition de Jean-Marc Jancovici, entendue en mai dernier au micro de France Inter, n'a pas manqué de faire réagir. Mais qu'en...
Développer des solutions bas carbone dans l’aéronautique, à la limite pourquoi pas, mais le secteur rejette déjà du CO2 aujourd’hui. L’hypothétique “avion vert” n’est pas un permis de polluer dans le présent, sous prétexte de la promesse d’un avenir meilleur. Donc en attendant, on devrait clouer la majeure partie des “avions gris” au sol.
Et la Suède a inventé flygskam, un terme pour désigner la honte de prendre l’avion en connaissant son impact délétère (bien ancré dans le présent encore une fois). Donc pas seulement une histoire de thunes, mais aussi de conscience.
Développer des solutions bas carbone dans l’aéronautique, à la limite pourquoi pas, mais le secteur rejette déjà du CO2 aujourd’hui. L’hypothétique “avion vert” n’est pas un permis de polluer dans le présent, sous prétexte de la promesse d’un avenir meilleur. Donc en attendant, on devrait clouer la majeure partie des “avions gris” au sol.
Et la Suède a inventé flygskam, un terme pour désigner la honte de prendre l’avion en connaissant son impact délétère (bien ancré dans le présent encore une fois). Donc pas seulement une histoire de thunes, mais aussi de conscience.