T’as dis quoi là, espèce de petite merde ? J’te ferais savoir que j’étais le meilleur de ma classe de la Milice, que j’ai fait partie de plusieurs raid secrets contre la Résistance et que j’ai tué plus de 300 sale communistes. Je suis entraîné dans l’art de la guerre de gorille et je suis le meilleur tireur d’élite de toutes la légion des volontaires français. T’es rien qu’une autre cible pour moi. Je vais t’anéantir avec une précision jamais vue sur cette planète, crois-moi. Tu crois pouvoir me dire cette merde sur Internet sans conséquences ? T’as tout faux, connard. En ce moment-même je suis en train de contacter mon réseau secret de collaborateurs au quatre coins de la France et ton IP est localisée donc t’as intérêt a être prêt pour l’orage, l’asticot. L’orage qui va anéantir la pathétique chose que t’appelle ta vie. T’es mort, p’tit con. Je peux être n’importe où, n’importe quand, et je peux te tuer en sept cent manières différentes, rien qu’avec Les eaux de Vichy. Non seulement me suis-je longuement entraîné en combat non armé, mais j’ai aussi accès à tout l’arsenal de la Wehrmacht et je vais utiliser tout son potentiel pour effacer ta misérable existence de la face du continent, espèce de petite merde. Si seulement t’avais sût quelle impie rétribution ta petite blague allait t’apporter, t’aurais peut-être fermé ta gueule. Mais t’as pas pu, tu l’as pas fait, et maintenant t’en paieras le prix, abruti. Je vais chier de la rage incandescente sur ta face et tu va te noyer dedans. T’es putain de mort, sale communiste.